J'ai décidé de raconter mes expériences littéralement « cordiales » ici sur mon blog, parce que je ne veux pas que ce souvenir soit perdu, et pour souligner que je ne suis pas la seule. Récemment, j'ai découvert, en faisant des recherches sur Internet, qu'une personne que je ne connais pas vit cette expérience, décrite de la même manière que la mienne, et, comme moi, elle prend des photos des cœurs qu'elle voit. Elle a aussi le sentiment que cela vient de « quelque chose de plus grand ». Elle a même écrit un livre.
Il y en a toujours des semblables, ça ne sert à rien de penser que nous avons un quelconque privilège spécial ou de l'originalité. Lorsque nous décidons de partager nos bonnes ou mauvaises bizarreries, d’innombrables cas similaires apparaissent. Il est toujours bon de savoir que cela n'arrive pas qu'à nous.
Je pensais que le premier cœur qui m'était apparu était cette goutte d'eau sur la photo d'illustration de cette page, que j'ai vu sur la planche de bois de ma cuisine, alors que je faisais la vaisselle. En fait, c'est le premier auquel j'ai attribué un sens précis et, à partir de là, tous les autres sont ainsi venus — presque toujours une réponse. Cette « apparition » a eu lieu le 26 mai 2015, je n'ai jamais oublié cette date. Je ne vais pas tout expliquer ici, mais je peux dire que je crois qu'il y a une intervention surnaturelle. J'ai de fortes raisons de le croire, en plus de correspondre à la période où j'ai commencé à me consacrer aux prières quotidiennes, y compris les lectures et le chapelet.
En parcourant mes dossiers, à la recherche d'une photo de moi au Brésil, je suis tombée sur un petit cœur dont je ne me souvenais pas, lors d'une visite que j'ai rendue à ma mère, qui était malade, en février 2013. Il était sur le trottoir de la rue Aimorés, à l'intersection avec l'avenue Getúlio Vargas, Contorno et rue Grão Pará (à Belo Horizonte). C'était tellement parfait que j'ai pris une photo avec mon iPod (cliquez ou appuyez sur l'image pour l'agrandir).
Mais c'est à partir de celle de 2015 que j'ai commencé à voir beaucoup de cœurs en tout ce qui existe : d'innombrables gouttes d'eau, la neige, le ciment, la nourriture, de différents types de matériaux ; même un soleil en forme de cœur m’est apparu, dans une circonstance très particulière. Dans le cas du soleil, j'ai vu le cœur par la photo que j'ai prise du soleil à l'horizon, car je ne le regarde pas directement (Prière à Saint Antoine).
Ils sont tous parfaits. Je pense qu'ils ne sont pas comme les paréidolies, dans lesquelles on a l'impression de voir une forme parmi d'autres formes. Ce sont des cœurs vraiment précis. Je n'ai pas l'habitude de regarder les nuages pour voir les images qu'ils forment, mais je les ai aussi vus dans le ciel, sur le reflet de la vitre de ma voiture, lorsque j'arrangeais mes cheveux au vent.
Ils apparaissent quand je n'y pense pas. Quand je les cherche, je ne les trouve pas. On dirait que c'est pour me montrer que ce n'est pas moi qui agis pour que cela se produise, ce n'est pas moi qui mène la barque.
Le sentiment que j'éprouve lorsque je vois mes cœurs est vraiment « cordial », réconfortant, d'une douceur bénie.
Cordial, dictionnaire Le Robert
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Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous.
Jésus, Marie, Joseph, je vous confie mon cœur et mon âme.
Ange du Seigneur, mon fidèle gardien, à qui la bonté divine a daigné me confier, éclairez-moi, dirigez-moi et gouvernez-moi toujours. Amen.
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