Pas à Casablanca, c'est à Belo Horizonte que notre "Ingrid Bergman", chère tante Virgínia, a joué aux côtés de son mari, mon oncle José Crux Rodrigues Vieira, et ils sont maintenant heureux pour toujours dans la maison du Père Céleste.
Virgínia Moretzsohn Rodrigues Vieira est décédée le 5 février 2022. Issue d'une illustre famille de BH, je ne citerai pas les noms de ses parents, ses frères et sœurs, ses enfants, car j'ai vraiment envie de parler d'elle. À la famille et aux amis qu'elle a laissés dans ce monde, mes sincères condoléances, je ressens aussi beaucoup cette perte.
J'ai mis ce texte que j'ai écrit au sujet de tante Virgínia juste ici sur mon blog personnel. Je voulais le publier dans un journal de BH, mais je n'ai pas réussi. Même si je le publiais dans un journal, je n'aurais pas pu envoyer la photo, car ses enfants pourraient, peut-être, ne pas être d'accord. La publication serait alors plate, car la ressemblance avec Ingrid Bergman, que je mentionne, ne serait pas vue. Donc je le laisse seulement sur mon blog, où seuls ceux à qui j'envoie le lien puissent le voir.
Je ne rends ici qu'un petit hommage à ma brillante tante, ma chère marraine de Consécration à la Vierge Marie. Quelle bénédiction de l'avoir comme marraine de Consécration, précisément elle qui était si dévouée à notre Mère du Ciel. Oh, comme ça me manque de l'entendre dire – c'est ma petite filleule – quand elle me présentait à quelqu'un. Quel bonheur d'avoir eu le privilège de la connaître, une si gentille personne. Elle était toujours de bonne humeur, un sourire amical et une étincelle dans les yeux, une douceur de personne. Elle avait une joie naturelle constante et ne faisait que louer les autres. Même lorsqu'elle racontait un cas anecdotique, c'était pour valoriser les qualités. Je ne l'ai jamais vue faire des grimaces, et encore moins dire du mal sur personne.
Ce n'est pas parce qu'elle est morte que je souligne ses qualités, c'est pour l'enregistrer comme exemple, pour ce monde si plein de conflits. Elle est la preuve que, pour vivre longtemps, il n'est pas nécessaire de démolir qui que ce soit.
Maintenant, dans la gloire éternelle, je lui demande de prier pour nous tous, pour nous aider à surmonter cette pandémie qui ravage le monde et qui nous empêche même de faire nos rites d'adieu en présentiel.
Vous me manquez, ma tante... Au revoir.
P.S. : Ma chère tante, je sais que vous aimez beaucoup la langue française, alors pardonnez-moi les fautes de français.
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Liens connexes :
Traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge
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