Le train traverse le
village
Dans la nuit, il perce
le temps
La neige ou la pluie
- « Il va
mouiller. »
Le roulement voyage
apaisant
Il me berce, le son
de la vie
Je dors, à peine j’entends
Aux petits sursauts
Le klaxon du train agonise dans le brouillard
L’air est lourd, à couper au couteau
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